Lancé à la suite du Covid, ce plan unique vise à « atténuer les conséquences économiques et sociales de la pandémie » et à rendre l’Europe « mieux [préparée] aux défis posés par les transitions écologique et numérique ».
En particulier, 37% des fonds doivent être alloués aux objectifs environnementaux européens (dont la neutralité carbone à horizon 2050), 20% à la digitalisation de l’économie.
Ce plan a la particularité d’être financé par un grand emprunt.
Il est constitué pour moitié de prêts aux États membres et pour moitié de subvention. Les modalités de remboursement de l’emprunt ayant financé les subventions ne sont pour l’heure pas précisément définies, ranimant le débat sur l’éventuelle levée d’un impôt européen.