Regards

Voici le détail par tranche d'âge (données Monde).

En zoomant sur la population française, la part des +65 ans est aujourd'hui équivalente à celle des 20 ans et moins (représentant chacun environ 15 millions de personnes).

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Notez enfin que, si vous êtes centenaire, vous faites partie des 32 000 petits veinards en France. On en comptera 120 000 en 2050.

En 2020, les français mesurent en moyenne 179 cm et pèsent plus de 81 kg (79 kg en valeur médiane, moins sensible aux valeurs extrêmes), les françaises, elles, mesurent 164 cm et pèsent en moyenne un peu plus de 67 kg (64 kg en valeur médiane).

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Depuis un siècle, la taille moyenne a augmenté d’environ 10 cm.

Marie et Jean étaient donnés de 20 à 50 000 fois par an jusqu’à l'après-guerre. Gabriel et Jade, les prénoms les plus donnés en 2022, ne l’ont été que 4 000 fois (pour une population nationale multipliée par 2).

Et pour les noms de famille ? Martin, Bernard, Thomas, Petit, Robert, Richard, Durand, Dubois, Moreau et Laurent forment le top 10.

Sous le double effet du vieillissement de la population et de l’augmentation des divorces, la taille moyenne des ménages est passée de 3,1 personnes en 1968 à 2,2 en 2019.

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On dénombre 30 millions de ménages :

• 37% sont constitués d’une seule personne (représentant 17% de la population) ;
• 36% des familles ont un seul enfant. 42% en ont 2. 20% en ont 3 ou plus ;
• 33% des enfants vivent dans une famille monoparentale ou recomposée.

En 2019, 59% de la population majeure vivait en couple (66% en 1982). Plus vous êtes diplômé(e), plus vos chances de vivre en couple augmentent.

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Le nombre de mariages est passé de 400 000 à 275 000 sur la même période (âge moyen de 33 ans).

En 2022, 64% des bébés sont nés hors mariage (37% en 1994).

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Fun fact : les hommes vivent beaucoup plus souvent en couple que les femmes... Du fait du décalage de l’espérance de vie, les femmes se retrouvent régulièrement seules à partir de 55 ans.

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Que ce soit au niveau Bac ou de l’enseignement supérieur et quelque soit la catégorie d’âge considérées, les femmes présentent un taux de diplôme supérieur aux hommes.

Leurs domaines d'études sont en revanche assez différentes :

On dénombre 30 millions d'actifs pour une population de 68 millions d'habitants (44%).

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Les dynamiques sont inversées selon le genre :

• le taux d’activité des femmes (15-64 ans) est passé de 54 % en 1975 à près de 70% en 2021
• sur la même période, celui des hommes a diminué de 84 à 76 %.

On constate également que le taux d’activité est inférieur à 40 % chez les 15-24 ans (du fait notamment du rallongement des études) mais qu’il augmente chez les 50-64 ans (recul du départ en retraite).

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Parmi les 27 millions de personnes en emploi :

• 74 % sont en CDI ou fonctionnaire, 13 % sont indépendants, 13% en CDD, intérim, alternance, etc.
• Il y a davantage de cadres (22 %) que d'ouvriers (19 %) ;
• 18 % sont à temps partiel (28 % chez les femmes, 8 % chez les hommes) ;
• 6% sont en sous-emploi (temps partiel subi ou chômage technique).

Le revenu médian est de 2 280 euros net / mois  pour les salariés.

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En 2024, le SMIC est de 1 400 euros nets (35h/semaine). Il concerne 17% des salariés.

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10% des salariés gagnent plus de 4 160 euros par mois, et 1% gagne plus de 10 000 euros.

C'est en réalité le double.

Voici la répartition détaillée :

Le patrimoine des français se répartit en moyenne entre :

• 62 % d’immobilier ;
• 21 % de placements financiers (dont 55 millions de livrets A) ;
• 11 % de patrimoine professionnel (agriculteurs, commerçants, chefs d’entreprise) ;
• 6 % de patrimoine résiduel : voiture, bijoux, art, etc.

Le taux d’endettement atteint 40% du patrimoine brut chez les moins de 40 ans, contre moins de … 1% chez les plus de 70 ans.

58 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale.

Un tiers d’entre eux sont accédants (20 % du total des ménages). Des chiffres relativement stables depuis 2001.

Le taux de français se déclarant en mauvaise ou très mauvaise santé est en réalité de 9 % pour la population globale. Il varie significativement en fonction de l’âge.

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Mi-2021, la prévalence des syndromes dépressifs atteignait 10 % de la population (12% chez les femmes, 8% chez les hommes), après un pic à 14 % en 2020 à l’apparition de l’épidémie de Covid-19.