Comment désigne-t-on cette approche ?

L’éthique de la vertu se construit autour de l’idée que le but ultime de la vie est d’atteindre le bonheur (l’eudaimonia), défini comme une vie pleine et accomplie.

A cette fin, Aristote prône le développement des vertus. Celles-ci sont définies comme de juste milieux : le courage est une vertu, juste milieu de la lâcheté et de la témérité. il nous faut pratiquer ces vertus pour qu’elles deviennent des habitudes. On devient courageux en agissant courageusement, même dans des situations difficiles. C’est la raison qui nous souffle où se situe ce juste milieu.

Ainsi la bonne action devient fonction des circonstances.